Temps modernes, la mémoire de l’esclavage et l’art contemporain

4 septembre au 11 septembre 2015 – UNESCO Hall Ségur

8 septembre au 3 octobre 2015 – Galerie Vallois

Dalongeville, Marius Dansou, Benjamin Déguénon, Euloge Glèlè, Richard Korblah, Romuald Mevo-Guezo, Gérard Quénum, Rémi Samuz et Dominique Zinkpè. Malgré la diversité de leurs approches, il ressort de cette proposition une cohérence stylistique saisissante. D’un côté et de l’autre de l’Océan surgissent des Legbas, des Ibejis et d’autres figures emblématiques des cultures africaines que les peuples de la diaspora africaine en Amérique ont conservé en les intégrant à la culture créole.

Affiche de l'exposition "la mémoire de l'esclavage et l'art contemporain" pour l'UNESCO

« Oggun Today »

4 septembre 2015

L’inauguration de l’exposition Temps Modernes dans le Hall Ségur du siège de l’UNESCO le 4 septembre 2015 sera accompagnée à 18h d’une performance artistique originale, « Oggun Today » proposant une réflexion sur la tradition et la modernité à travers la danse et la musique. « Oggun Today » est née de la collaboration entre le bassiste David Jacob, le DJ Erik el Chamaco et le danseur Santiago Herrera Quesada. Visuellement, c’est le même contraste entre tradition ancestrale et innovation contemporaine qui s’exprime à travers la danse d’Oggun, une déité du panthéon des Orishas guerriers. C’est à cette expérience que nous renvoie la chorégraphie de Santiago Herrera Quesada qui interprète et réactualise les rituels dansés très codifiés associés à la figure d’Oggun, le guerrier, le résistant. L’Orisha Oggun est le maitre des métaux et ses couleurs sont le noir, le vert et le violet.

Affiche de « Oggun Today » pour l'exposition au siège de l'UNESCO